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dimanche 30 mars 2014

Jamais sans ma flasque !

Nous sommes tous d'accord pour expliquer qu'une randonnée de plusieurs jours se prépare avec sérieux. Le parcours s'organise avec cartes et topo-guides; le confort se négocie avec pulls, coupe-vent et (parfois en Normandie) lunettes de soleil. Dans cet article, je vous ai même parlé de ma tente. J'ajouterai un autre volet important à prendre en compte : l'art de (bien) vivre. Et pour cela, je vous présente ma botte secrète, ma botte de Nevers à moi (référence uniquement compréhensible par les amateurs de films de cape et d'épée) : il s'agit de ma flasque.

Jamais sans ma flasque, tel est le mot d'ordre de toute randonnée digne de ce nom.
Glissée, toujours avec malice, dans une poche du blouson ou du sac à dos, elle accompagne et réconforte le randonneur. En fait, c'est surtout son contenu qui agit telle une médecine naturelle ou un remède de grand-mère (en fait de grand-père).
Vous l'avez compris, je ne pars pas sans cette (toute petite) flasque nonobstant le courroux des moralisateurs et autre buveurs d'eau plate.
Le véritable débat avant le départ concerne le contenu de la flasque. De nombreuses théories s'affrontent : whisky, rhum ou calvados ? J'ai tranché, ce sera whisky. Mais cela ne simplifie pas totalement le débat : blended ou single-malt, tourbé ou pas ? Vous le voyez bien, partir en randonnée se résume parfois à un sacré casse-tête. Puisqu'il fallait prendre une décision : ce sera Oban, single malt des west highland en Ecosse.
Il me reste encore un problème à résoudre : celui du réapprovisionnement, chemin faisant. Là encore, je vous raconterai.

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