Dans un registre moins spirituel, la cuisine mise à disposition permet d'entreprendre toutes les innovations culinaires. Pierre, chef-cuisinier du soir effectua une démonstration de haut vol sur une base, très roborative, de "pasta carbonara".
La cuisine du gite d'étape Thomas Hélye de Biville permet, avec le matériel à disposition, toutes les créations culinaires. Y compris les "pasta carbonara" à la mode de Pierre. Un must (© Vochelet) |
L'étape du jour méritait de prendre des forces : Biville - Audeverville via le célèbre Nez de Jobourg (24 km). Le ton de la journée est donné dès
l'approche du premier village traversé. En effet, pour rejoindre Vauville, il convient de se "manger" une grimpette qui calme les plus impétueux. Mais une fois dans le village prenez le temps d'apprécier les nombreux palmiers, bananiers et autres bouquets de fougères arborescentes qui poussent dans les jardins.
Nous sommes à Vauville célèbre pour son jardin botanique appelé le Jardin du voyageur. On y trouve 1000 espèces de plantes de l'hémisphère sud (© Vochelet) |
Difficile d'imaginer un cadre aussi idyllique pour une randonnée. Un rayon de soleil et le Cotentin devient vraiment un très bel endroit ( ©Vochelet) |
Le sentier des douaniers n'est pas très large et il convient de redoubler d'attention. Pas question de faire un faux pas. Le Nez de Jobourg s'élève à 128 mètres au-dessus de la mer. La vue embrasse le large. Un endroit idéal pour faire un pique-nique sur le sentier. Les rochers servent de fauteuils ou de table. En tous les cas, nous avons là un balcon fantastique.
Quel admirable balcon pour la pause casse-croûte entre la pointe du Bec de l'âne et le Nez de Jobourg (©Vochelet) |
Evidemment après le Nez de Jobourg, le chemin devient sans doute un peu "pépère"mais tout de même, la balade de la baie d'Ecalgrain mérite également le détour. Direction Auderville pour une chambre d'hôte et surtout un restaurant très, très original. Je vous en parle demain...
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